Amnesty International, ATD Quart Monde, LST rappellent que la pauvreté n’est pas qu’un manque, c’est une violation des droits humains.
La pauvreté ne signifie pas seulement vivre avec des moyens en dessous d’un certain seuil minimal. C’est la conséquence de violations des droits humains et c’est une atteinte à la dignité humaine. Plusieurs manifestations publiques auront lieu ce 17 octobre marquant la journée mondiale contre la misère.
Plus de 850 millions de personnes sur la terre souffrent de la faim.
Près de 11 millions d’enfants meurent chaque année avant d’avoir atteint leur cinquième année.
Plus de 100 millions de personnes n’ont pas accès à l’école primaire et des milliers de petits paysans sont chassés de leurs terres chaque jour.
Si divers soient-ils, ces exemples ont un point commun. Derrière ces chiffres, il y a le destin de personnes dont les droits à l’alimentation, à l’éducation ou à un logement adéquat ont été bafoués. Il leur manque souvent les moyens nécessaires pour se défendre.
La pauvreté ne signifie pas seulement vivre avec des moyens en dessous d’un certain seuil minimal. C’est la conséquence de violations des droits humains et c’est une atteinte à la dignité humaine. C’est pourquoi, il apparaît essentiel de soutenir les personnes qui en sont victimes afin qu’elles puissent faire valoir leurs droits.
La journée mondiale pour l’élimination de la pauvreté a comme objectif de donner une voix aux personnes concernées et d’appeler les dirigeant-e-s à agir concrètement contre la pauvreté et contre les violations des droits humains qui sont à son origine.
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